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Décidément après leurs sorties hasardeuses marquées par des déballages et lynchage médiatiques, les fameux panafricanistes ont vu désormais leurs masques tombés. Ces pourfendeurs guidés par l’appât de gain se sont finalement révélés être de véritables marionnettes payées pour mentir et salir des dignes personnalités.

Il est vrai qu’après la crise meurtrière qu’a connue la République centrafricaine, le pays a attiré des prédateurs, des charognards, des oiseaux de proie, faisant ainsi de la Centrafrique le repère indiqué des aventuriers politiques et des marchands d’illusions.

Le malheur c’est que les Centrafricains ne sont pas confiants et préfèrent se laisser séduire par ces aventuriers qui viennent de loin avec la prétention affichées d’être des panafricanistes. Des panafricanistes à la mie de pain et de saison qui font diversion.

Autant dire que le panafricanisme est devenu l’instrument d’un mercantilisme politique entre les mains de certains aventuriers qui vivent aux dépens de ceux qui les écoutent. C’est ainsi que Harouna Douamba, Ibrahim Barry et Serge M’baïkassi ont réussi en temps, grâce à la complicité de certaines personnalités du pouvoir à infiltrer certaines institutions de la République, tentant même de faire main basse sur l’hôtel Ledger. On en voudrait pour preuve, la présence à Bangui de deux délégations libyennes, chacune tirant la couverture de son côté.

Et du jour au lendemain alors que les portes leur sont fermées, on se met à beugler. Douamba et autres pestiférés  sont obligés de monter au créneau via les réseaux sociaux pour proposer un grand déballage médiatique, comme s’ils avaient à eux seuls le monopole de la désinformation et de la manipulation des médias.

C’est ainsi que l’homme d’affaire Sani Yalo est devenu leur cible non sans raison aucune. Ils inventent toutes les histoires afin de clouer au pilori ce personnage au grand cœur, un des fidèles du Président Touadera dont le soutien a été capital pour l’accession de son champion au pouvoir de l’Etat.

Comme tous les Centrafricains ont compris, Sani Yalo est loin de toutes ces âneries inventées pour l’abattre. C’est un homme qui sait ce qu’il cherche pour le bonheur de ses compatriotes centrafricains. La confiance que le Président Touadera lui fait suscite à un haut niveau la jalousie. D’où cet acharnement sur sa personne.

A l’évidence, ces trois panafricanistes alimentaires n’agissent pas seuls. Ils bénéficient de la complicité et de la condescendance de quelques personnalités de haut niveau qui ont eu à assumer des hautes fonctions à la tête de l’Etat. Suivez notre regard !

Ils sont à la manœuvre aussi à Bangui que lors de leur déplacement en Afrique de l’Ouest ou en France où ils essaient de manipuler certains compatriotes de la diaspora à force de mensonge, de désinformation et de chantage politique.

Ils sont capables de causer du tort à quiconque qui se met en travers de leur chemin. Ils développent de la toxicité et de la nocivité. C’est de cela que Harouna Douamba et ses compagnons sont désormais capables.

Au deuemeurant les Centrafricains ont d’autres soucis, ceux de leur destin et de leur avenir politique. Ce n’est pas Harouna Douamba et ses compères qui feront le bonheur du peuple centtrafricain.   

Tag(s) : #NATION
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