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Ces derniers temps, un certain Harouna Douamba de nationalité burkinabé s’acharne sur Sani Yalo, opérateur économique et l’un des piliers de la galaxie du Président Touadera.

Le panafricaniste, un moyen de parvenir à des fins sordides. Le nationalisme en vogue en Centrafrique est devenu un moyen pour certains de survivre. Le fait nouveau, c’est l’irruption brutale des parasites extérieurs dans la vie centrafricaine au nom de l’intertionalisme panafricain conduit par quelques mercenaires politiques  venus plutôt faire du business auprès des autorités les mieux placées de la République.

Mais l’on se rend compte que c’est le Président Touadera qui est dans la ligne de mire, dans le collimateur des mercenaires et snippers venus de la Guinée et du Burkina Faso. C’est le cas emblématique de Harouna Douamba  et Ibrahim Barry qui ont eu à squatter auprès de certaines autorités les mieux placées avant de rentrer en guerre contre ces personnalités quand tout d’un coup, on leur a retiré les logis, le couvert, les véhicules et de multiples services parfois lourdement rémunérés. Ils font de la fixation sur Sani Yalo en insinuant qu’il serait à l’origine de toutes les crises politico-militaires en Centrafrique depuis l’époque de Kolingba, Patassé, puis Bozizé.

Les coups d’Etat, les mutineries et les rebellions seraient orchestrés par ses soins pour lui permettre de piller tous ceux qui ont travaillé avec Bozizé, pour saccager et piller le CFAO. Ils sont en passe de dédouaner tous les opposants politiques considérés comme des ennemis de pouvoir  et de la République.

Ce vendeur d’illusions Harouna Douamba qui se dit panafricaniste tire à bout portant sur Sani Yalo dans ses invectives et ses conversations avec Ibrahim Barry. Il ne manque pas d’imagination. Autant dire que c’est règlement de compte qu’il fait pour le compte d’une personnalité politique bien connue.

Le sinistre Ibrahim Barry avec lequel Harouna Douamba nage dans cet océan de mensonges, d’invectives et d’inimité envers Sani Yalo n’est autre qu’un truand de grand acabit qui brille dans ce genre d’exercice pour bénéficier de quelques pièces sonnantes ou de la largesse du « patron » qui a mis en place de toutes pièces ce casting en vue de détruire quelqu’un qui œuvre pour le développement de la République centrafricaine.

 Il n’y a surement une note d’incohérence politique dans la cabale de nos panafricanistes qui tentent de renouer avec les opposants. Le cynisme et le machiavélisme de nos pourfendeurs sautent désormais à l’œil, quand ils se proposent de recourir à une campagne médiatique internationale, en prenant soin toutefois de prétendre qu’ils travaillent pour Touadera. Mais ne flirtent-ils pas avec les Présidents de leurs pays d’origine qui ne sont pas nés de la dernière pluie ?

On le voit bien, leur nouveau bouc-émissaire, c’est Sani Yalo considéré comme le verrou infranchissable avant d’atteindre le Président Touadera. Les mafieux n’aiment pas les obstacles sur leur chemin. C’est pourquoi Sani Yalo est devenu ces derniers jours, le « joujou » des manipulations médiatiques de nos panafricanistes d’un autre genre. Ils interpellent directement sur les réseaux sociaux le Chef de l’Etat pour prévenir d’une nouvelle rébellion armée ou d’un coup d’Etat en préparation. Ils veulent être écoutés et se présentent en « ange gardien » du Président de la République victime du harcèlement politique et moral indigne d’une démocratie et de démocrates sincères. Quelle crapulerie ?

Derrière cette opération de charme et de séduction, il y a une volonté funeste. Celle de prendre possession de la « forteresse Touadera » afin d’assouvir quelques intérêts égoïstes, mercantiles et mafieux. Auprès des quels Chefs d’Etat africains, les intellectuels centrafricains se comporteraient-ils de la sorte ?

Sous d’autres cieux, Sani Yalo qui fait l’objet de toutes ces attaques haineuses téléguidées par certains apprentis sorciers politiques en Centrafrique devait être adulés pour ses actes patriotiques. Un richissime homme d’affaire qui a su mettre son savoir-faire au service de son pays en résorbant le chômage et en réduisant la pauvreté ne mérite pas un tel traitement dingue.

Pendant que leur patron qui les finance pour cette sale besogne amassait frauduleusement les maigres ressources financières du pays pour ses propres ambitions démesurées, Sani Yalo investi dans son pays pour le bonheur de tous ses compatriotes Centrafricains. Ce n’est que malheureusement en Centrafrique que les prisonniers en sursis se permettent d’orchestrer des campagnes médiatiques pour nuire à un digne patriote qu’est Sani Yalo.

Tag(s) : #NATION
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